Léopoldine, au service du Bien commun

Discrète mais déterminée, Léopoldine est une jeune auditrice aussi rigoureuse que passionnée.


L’Histoire de l’art mène à tout : étudiante à Paris IV, Léopoldine a débuté son engagement « à la suite à l’éveil français du printemps 2013 ». Elle devient auditrice de l’IFP au printemps 2015 puis collaboratrice parlementaire fin 2015.

Léopoldine est une jeune française désireuse de servir : « Exercer dans le domaine politique ne doit pas s’envisager comme une source de satisfaction personnelle, explique-t-elle : c’est une permanence mise au service de son prochain, avec le Bien commun comme horizon ».

A n’en pas douter, notre jeune auditrice joint le geste à la parole. Douée pour l’écriture, elle met sa plume au service de ses convictions : « j’ai contribué à de nombreux médias en ligne ; j’ai également été assistante d’émission, après avoir contribué au bulletin de réinformation matinal d’une radio libre ». Elle souligne à ce propos que les entraînements médias à l’IFP lui ont permis « de comprendre l’attitude à adopter face à l’adversité médiatique ».

Infatigable, elle devient aussi contributrice récurrente de France Renaissance, un centre d’étude et d’action politique, attaché « à la défense des libertés et de l’identité française »,et œuvrant pour influencer le travail législatif des parlementaires. Enfin, dans le domaine associatif, elle prête main forte à SOS Chrétiens d’Orient « dont je reste une volontaire convaincue du bienfondé de l’action ». Depuis deux ans, l’association porte secours des minorités chrétiennes persécutées par l’Etat islamique au Proche-Orient.

Pour Léopoldine, le constat est sans appel : « Le pernicieux entre soi imposé par certaines élites pseudo-intellectuelles depuis les années 1960 a assez duré. L’imposition d’une dogmatique de la bien-pensance, vouant au silence toute pensée alternative, connaît un essoufflement à l’heure actuelle ». Maintenant, juge-t-elle, il est temps d’agir pour en finir avec « le rejet de notre héritage et l’apologie de l’individualisme ».

Déterminée, vous dit-on…