Élise : le charme et la nécessité de la réinformation

Depuis deux ans Élise ne passe pas inaperçue : chaque jour, elle présente sur Internet le journal de TV Libertés et réinforme l’opinion française sur la réalité politique de notre pays.


Originaire de la région parisienne, notre auditrice se retrouva malgré elle au cœur de l’un des champs de bataille de la guerre culturelle en France : « J’ai commencé mes études par un cursus littéraire en Sorbonne et j’ai été rapidement confrontée au syndicalisme étudiant… autrement dit aux grèves et aux facs bloquées, quand elles n’étaient pas vandalisées. »

Ainsi fut-elle contrainte de cohabiter « avec tout ce que j’exécrais : les idées prédigérées d’extrême-gauche, les attitudes violentes et irrespectueuses de certains militants de l’UNEF face à des professeurs surdiplômés, les enseignants-chercheurs qui ne se sentaient absolument pas concernés par leurs élèves au point d’oublier de venir faire cours ». La situation de l’Université française la désespère alors : « une caricature, pourtant réelle ».

Mais il en fallait plus pour la décourager. Débutant dans le journalisme, Élise rejoint TV Libertés en 2014*. D’un chic et d’un professionnalisme à toute épreuve, elle devient la présentatrice vedette de ce nouveau média et fait rapidement parler d’elle. « J’ai toujours un souci de cohérence et essaie d’être en adéquation avec mes valeurs et mes convictions, explique-t-elle. Tout cela s’inscrit parfaitement dans le travail de réinformation de TV Libertés pour qui je travaille depuis maintenant plus de deux ans ».

Aujourd’hui, elle se trouve de nouveaux défis : « L’année qui nous attend va être forte en rebondissements ! Il est prévu que j’anime pour TV Libertés un journal consacré à la présidentielle dans les mois à venir ». En effet, la France assiste à « une situation politique assez inédite : tout ou presque est envisageable. La profusion de candidats sur l’ensemble de l’échiquier politique transforme les projections rationnelles en art divinatoire… Je trouve cela passionnant ».

Son objectif ? « Recevoir un maximum de personnalités politiques, être incisive lors des entretiens et poser les questions pour lesquelles les Français attendent des réponses claires et non des pirouettes démagogiques ».

Sans surprise, Élise est passée par l’IFP : « c’est un peu un label pour moi. Après mon passage en séminaire de niveau I, j’ai eu la chance de participer aux séminaires de niveau II, en tant qu’intervenante pour les entraînements médias. De ce fait, j’ai vu les deux côtés de l’Institut et je dois dire que je suis convaincue par tout le travail accompli ». En effet, « les séminaires sont complets et diversifiés. Ils ne délivrent pas du prêt à penser mais aident au contraire les auditeurs à se former intellectuellement avec des références politiques et historiques, mais aussi des formations pratiques ».

Pragmatique, notre auditrice a conscience de l’importance du travail en équipe : « tout cela, c’est du concret, et notre “famille” de pensée a besoin de telles structures comme de ce fonctionnement en réseau, c’est vital » !